Il suffit d’une entaille dans la masse palpitant pour ouvrir la peau du monde – porte sur l’infini.
Suivre le fil conducteur comme un funambule. Se plier aux caprices du chemin et épouser les méandres obligés. Abandonner la volonté, la maitrise et ce qui est connu d’avance comme des vêtement sur la grève – Se laisser happer par la vague. La peau nue n’offre plus de résistance et l’horizon toujours fuyant est alors le seul but.
Toujours plus loin….et sans fin